Diane et Ronan Gélébart ont participé ensemble à la Mini-Transat 1999. Ensemble ou plutôt en même temps. Ronan avait choisi de traverser l’atlantique sur un prototype, rouge. Diane, quant à elle, avait préféré un Pogo, jaune. Tous deux préparent maintenant un voilier pour de longues croisières, en double !
Basés à Brest, Diane et Ronan ont fait appel à l’architecte local, spécialiste des minis et auteur du Pogo, pour leur dessiner un voilier de 9 mètres de long. Objectifs : une construction amateur à leur portée et un budget à la hauteur de leur porte monnaie. Le résultat donne le Banjo : un voilier à bouchains qu’ils vont pouvoir construire en contre plaqué. Il s’agit d’une évolution d’Hakuna Matata, le 650 d’Ollivier Bordeau dont la carène est identique à celle du Ti Zef.
Ronan Gélébart s’est rapidement attaqué à la construction en commençant par une réalisation digne des charpentiers de marine des siècles derniers : la fabrication d’une maquette ! Ronan explique.
"Tout d’abord, nous avons construit une maquette en balsa, à l’échelle 1/20e pour bien matérialiser les formes de coque, le cockpit et tout le tin toin... Ensuite, nous nous sommes attaqués aux cloisons font 3,70 m au plus large et sachant que le standard contre plaqué est à 3,10 m. Donc, nous avons dû rallonger en utilisant la technique du Scarf, très bien expliqué dans les bouquins Loisirs Nautiques Hors série : les panneaux sont tracés, et usinés ensemble, afin d’avoir un angle constant. Le tout est collé à l’époxy 5550 Sicomin, chargée et pressé sous des poids."
"Actuellement, les collages de coque sont finis à l’intérieur, on a commencé les renforts de bouchains en extérieur. Le weekend prochain, on réalise la strat générale de coque..."
Les Glénans profitent du Nautic de Paris pour exposer le K. I. S. S, un bateau conçu avec une puissante ambition pédagogique. Le Kiss, pour « Keep it Smart & Simple » a tout du petit trimaran d’initiation. Ses trois coques effilées de 6,6 m lui assurent une parfaite stabilité et il est aussi à l’aise sous voile qu’à la rame. Pourtant, la (…)
La construction de l’Oléo Banjo, le Cherub de Ronan Gélébart, est terminée. Après le Banjo, un voilier de course-croisière sur plans Rolland, Ronan a construit et terminé son premier skiff. Le deuxième est déjà dans le moule alors que Ronan tire ses premiers bords sous spi asymétrique à la barre de son nouvel engin. Retour sur la fin de la (…)
« La construction du bolide continue ! » écrit Ronan Gélébart passé maître en construction de Banjo, de maison et maintenant de Cherub, ce skiff construit en amateur. Lors de cette nouvelle étape dans la vie de chantier du dériveur, on découvre l’utilité d’une trayeuse à vache ! Pas étonnant pour un beau bébé né à la campagne...
La pré-construction du Cherub est terminée. Le moule femelle de coque est achevé et paré à recevoir ses premières couches de fibre. C’est ce que nous raconte Ronan Gélébart en illustrant ses propos des photos du démoulage. Dès cette opération bouclée, Ronan a commencé la fabrication de la première coque...
Vous vous souvenez de Ronan Gélébart ? Pas lassé par la fabrication du Banjo, un voilier de 8,70 mètres de long sur plans Pierre Rolland, le voilà qui se lance dans la construction d’un skiff de 12 pieds. Il devait donc rester un peu de contreplaqué après la fin du chantier du Banjo...
Depuis samedi, le Banjo de Diane et Ronan Gélébart dont on a pu suivre la construction sur SeaSailSurf a été baptisé. Peu de temps auparavant, il prenait de la couleur sous la direction technique de ses propriétaire dont on se demande où ils sont allés chercher cette idée ! Du coup, Ronan a envoyé un mail a tous ses amis avec un extrait de (…)
Le Néo Zélandais, vainqueur de la Whitbread, deuxième détenteur du trophée Jules Vernes et double vainqueur de la Coupe de l’America aurait été assassiné ce matin en Amazonie.
La maquette du nouveau monotype. Photos : Ch.Guigueno
Le nouveau Figaro Bénéteau serait-il déjà un succès ? La classe Figaro Bénéteau reconnaît comptabiliser entre 20 et 25 intentions d’achat. Le chantier Bénéteau qui a promis de construire 50 bateaux en un an remplit son carnet de commandes.
Après une saison record dont la principale épreuve était la Transat Jacques Vabre en double, Franck Cammas et Alain Gautier ont terminé au coude à coude. Chacun marque 78 points sur la saison mais c’est le skipper de Groupama qui s’impose grâce à sa victoire dans la transatlantique.
Onze skippers sont classés (Joyon, Duprey et Richards n’ont (…)
Le premier Open 570 exposé à la Porte de Versailles. Déjà dix commandes. Photo : Ch.Guigueno
Les chiffres sont inversés mais le concept reste le même. Une raison à cela, le papa des deux quillards moderne n’est autre que le Groupe Finot. “Finot a déposé la marque Open” précise, un brin énervé, Bruno Hervouet, le patron du chantier Phileas qui construit cette version assagie de la bête en série.
Laurent Brossat devant le Fun Power exposé au salon nautique de Paris. Photo : Ch.Guigueno
La carène possède un air d’Europe. Laurent Brossat, son architecte et constructeur, avoue justement être un ancien régatier de cette série. Il a aussi navigué en Laser et s’est inspiré des skiffs, les 18 pieds australiens, pour dessiner un dériveur en solitaire de la nouvelle génération.
L’Australienne Layne Beachley vient de remporter son quatrième titre mondial consécutif en se qualifiant pour les quarts de finale du Billabong Pro Maui. Sa compatriote Neridah Falconer s’adjuge de son côté l’épreuve en battant en finale Pauline Menczer.
Australian Layne Beachley today reached an ’Everest’ of a career goal by equaling the previous record set of four consecutive world titles by claiming her fourth at the Billabong Pro Maui, the final women’s World Championship Tour (WCT) of 2001. Neridah Falconer, meanwhile, achieved her own milestone this afternoon by defeating 1993 world (…)
illbruck arrive à Sydney à 2 heures GMT ce matin. Photo : Daniel Forster / illbruck
En franchissant en vainqueur, à 01h 22 (heure française – 11h 22 heure locale) la ligne d’arrivée de la seconde étape Cape Town – Sydney, illbruck signait une magnifique victoire, arrachée aux différentes fortunes de mer qui ont éprouvé l’équipage battant pavillon allemand depuis le début de cette manche de 6 550 milles. Les ennuis de illbruck (…)