Longtemps méconnue du grand public, « La Petite Coupe de l’America » est fascinante à bien des égards : compétition internationale de très haut niveau menée par des marins chevronnés, elle a su garder l’esprit sportif et pionnier de ses débuts.
La première édition, qui a lieu en 1961 à Long Island (USA), est née d’un défi technique et sportif lancé aux équipes, qui développaient des multicoques à travers le monde, dans le but de designer le catamaran le plus rapide. Devenue le « Championnat International de Class C », elle est surtout considérée, depuis, comme le laboratoire de la Coupe de l’America, à l’issue de laquelle, les teams partagent leurs découvertes technologiques, leurs techniques de construction, leurs calculs et leurs secrets.
Avec l’aide de la Fondation Hydros, qui est entièrement dévolue à l’efficience énergétique et qui organise à Genève en plein cœur de la rade, du 10 au 20 septembre 2015, la 27ème édition du Championnat International des Class C, François Chevalier s’est plongé dans une centaine d’archives inédites (photographies, plans de forme, dessins, cartes, etc.) pour raconter cette aventure humaine et sportive passionnante, des origines de la course à nos jours.
Véritable invitation à suivre les traces des grands sportifs qui ont fait la Little Cup (Philippe Stern, Steve Clark, Duncan MacLane, Franck Cammas ...), La Grande Histoire de la Petite Coupe raconte les trésors de technologies et de précision portés par les Class C, mais aussi l’architecture de ces catamarans à la pointe du progrès en matière de vitesse.
Une plongée dans les courses époustouflantes de ces bateaux volants où souffle encore un véritable esprit de fair-play.
L’auteur : François Chevalier, un architecte naval de renom.
Journaliste depuis 1982 pour les Cahiers du Yachting et Voiles & Voiliers, il publie dans Le Monde, La Croix ou La Tribune de Genève. Auteur et illustrateur d’ouvrages de référence sur l’histoire de la plaisance française et internationale, il a reçu notamment le Prix du Salon du Livre Maritime 1988, le Prix du Patrimoine Maritime 1994 et le Prix Neptunia en 1994.
Pour la troisième édition de son concours vidéo, l’association Salée invite les moins de 25 ans à raconter le lien qu’ils ont avec la mer. Le concept : réaliser une vidéo de deux minutes maximum pour transmettre une émotion, un souvenir, un lien fort à la mer ou à l’univers maritime.
Le Brest Surf Film Festival 2019 lance avec l’Agence française pour la biodiversité et Surfer’s Journal la seconde édition du concours photo Surf/Bretagne/Nature. Il s’agit d’illustrer la relation “positive” homme-nature sur le littoral de la Bretagne.
Plongeur et photographe, Greg Lecoeur explore inlassablement les mers du Globe en quête de belles rencontres. Un regard sensible, un talent évident pour interagir avec les animaux et une approche experte de la lumière confèrent à ses images une grâce et une puissance saisissante. Son talent a été récompensé par de nombreux prix nationaux et (…)
Le 21 septembre 1876, la Baronne Julie de Rothschild inaugurait son bateau à vapeur baptisé « La Gitana » sur le Lac Leman et pulvérisait un record de vitesse.
Nul ne pouvait se douter, ce jour-là, que cette passion dévorante pour la sur l’eau allait se perpétuer de génération en génération dans la famille Rothschild.
A l’occasion du 50e anniversaire de l’entreprise Guy Cotten associé au départ de la course Transatlantique AG2R, des artistes de l’Académie des Arts & Sciences de la Mer contribuent à leur manière à ce double évènement.
Le 9 mars 2004, Jean-Luc Van Den Heede bouclait brillamment son tour du monde à l’envers - d’est en ouest, contre vents et courants - à bord de son monocoque Adrien, en 122 jours, 14 heures, 03 minutes et 49 secondes. Un record qui, depuis, n’a jamais été battu. Le navigateur l’avait promis, si au bout de dix ans son chrono « était toujours (…)
Le Néo Zélandais, vainqueur de la Whitbread, deuxième détenteur du trophée Jules Vernes et double vainqueur de la Coupe de l’America aurait été assassiné ce matin en Amazonie.
La maquette du nouveau monotype. Photos : Ch.Guigueno
Le nouveau Figaro Bénéteau serait-il déjà un succès ? La classe Figaro Bénéteau reconnaît comptabiliser entre 20 et 25 intentions d’achat. Le chantier Bénéteau qui a promis de construire 50 bateaux en un an remplit son carnet de commandes.
Après une saison record dont la principale épreuve était la Transat Jacques Vabre en double, Franck Cammas et Alain Gautier ont terminé au coude à coude. Chacun marque 78 points sur la saison mais c’est le skipper de Groupama qui s’impose grâce à sa victoire dans la transatlantique.
Onze skippers sont classés (Joyon, Duprey et Richards n’ont (…)
Le premier Open 570 exposé à la Porte de Versailles. Déjà dix commandes. Photo : Ch.Guigueno
Les chiffres sont inversés mais le concept reste le même. Une raison à cela, le papa des deux quillards moderne n’est autre que le Groupe Finot. “Finot a déposé la marque Open” précise, un brin énervé, Bruno Hervouet, le patron du chantier Phileas qui construit cette version assagie de la bête en série.
Laurent Brossat devant le Fun Power exposé au salon nautique de Paris. Photo : Ch.Guigueno
La carène possède un air d’Europe. Laurent Brossat, son architecte et constructeur, avoue justement être un ancien régatier de cette série. Il a aussi navigué en Laser et s’est inspiré des skiffs, les 18 pieds australiens, pour dessiner un dériveur en solitaire de la nouvelle génération.
L’Australienne Layne Beachley vient de remporter son quatrième titre mondial consécutif en se qualifiant pour les quarts de finale du Billabong Pro Maui. Sa compatriote Neridah Falconer s’adjuge de son côté l’épreuve en battant en finale Pauline Menczer.
Australian Layne Beachley today reached an ’Everest’ of a career goal by equaling the previous record set of four consecutive world titles by claiming her fourth at the Billabong Pro Maui, the final women’s World Championship Tour (WCT) of 2001. Neridah Falconer, meanwhile, achieved her own milestone this afternoon by defeating 1993 world (…)
illbruck arrive à Sydney à 2 heures GMT ce matin. Photo : Daniel Forster / illbruck
En franchissant en vainqueur, à 01h 22 (heure française – 11h 22 heure locale) la ligne d’arrivée de la seconde étape Cape Town – Sydney, illbruck signait une magnifique victoire, arrachée aux différentes fortunes de mer qui ont éprouvé l’équipage battant pavillon allemand depuis le début de cette manche de 6 550 milles. Les ennuis de illbruck (…)