Le trio de tête n’est pas une surprise pour les SeaSailSurfnautes dont beaucoup sont des skippers de minis, ces voiliers de 6,50 mètres de long à la fois modèles réduits de 60 pieds Open et école de course au large pour les futurs grands noms. De nombreux skippers du dernier Vendée Globe ont ainsi fait l’école de la Mini comme Desjoyeaux, Davis, Josse…
Au final de ce sondage, vous avez donc plébiscité ces deux courses quasiment à ex-aequo puisqu’un seul point ne sépare le Vendée Globe de la Mini-Transat alors que le tour du monde en solitaire vient de défrayer la chronique sportive depuis plus de trois mois.
Après ces deux courses, ce sont les Route du Rhum et (surprise) Volvo Ocean Race qui se sont affrontées pour la 3e place. Le podium revient finalement à la transatlantique en solitaire française. Cette classique mythique garde une place importante dans vos rêves de course au large. Surprise, la Volvo Ocean Race que d’aucuns croient moribonde recueille 57 votes. Notez qu’un quart des visites de www.seasailsurf.com se font en langue anglaise. Les Anglo-Saxons ont donc voté pour la course autour du monde en équipage.
Derrière ces deux duos, on retrouve la Solitaire du Figaro. C’est une course qui fait rêver les futurs skippers professionnels puisque, plus encore que la Mini, c’est le tremplin vers le Vendée Globe comme l’a montré la liste de départ de la dernière édition. La Solitaire est une valeur sûre de la course au large à la française même si elle laisse de moins en moins de place aux amateurs pour intéresser les professionnels de la course et les jeunes ambitieux.
L’autre moitié du classement est serrée et loin derrière les 5 premières courses. Il s’agit du Tour de France, de la Transat Anglaise, de la Jacques Vabre et de la Velux 5 Oceans. Mais on peut continuer de rêver…
Le dénouement de la première étape de The Ocean Race Europe 2025 s’annonce « chaotique », avec des équipages qui se préparent à une nuit blanche, ponctuée de manœuvres alors qu’ils progressent au près vers l’arrivée.
Incident au départ pour Ambrogio Beccaria et l’équipage d’Allagrande Mapei lors de la première étape de The Ocean Race Europe (TORE). À peine deux minutes après le coup d’envoi de la course, les IMOCA Allagrande Mapei et Holcim-PBR sont entrés en collision. Aucun blessé n’est à déplorer, mais les deux bateaux ont dû regagner immédiatement le (…)
Le nom Caradec s’apprête à faire son retour sur la ligne de départ de la Route du Rhum – Destination Guadeloupe. Quarante ans après la disparition de Loïc Caradec dans la tempête tragique de l’édition 1986, son fils Tanguy prendra, à son tour, le large. En novembre 2026, il s’élancera en solitaire de Saint-Malo vers Pointe-à-Pitre, à bord d’un (…)
À plus de 70 ans, Éric Loizeau, qui incarne comme personne les croisements d’expérience entre la course au large et la haute montagne, annonce son retour en mer pour participer à la Route du Rhum 2026. Et pas à bord de n’importe quel voilier puisqu’il a choisi Flo, l’ancien trimaran de Florence Arthaud, comme compagnon de route pour cette (…)
C’est une performance majuscule qu’Alexis Loison et Jean-Pierre Kelbert viennent de signer sur le centenaire de la Rolex Fastnet Race. Les deux marins s’imposent en effet sur le classement Overall puisqu’aucun concurrent encore en course ne peut rattraper l’équipage français.
Corentin Douguet et Axel Tréhin ont remporté la Rolex Fastnet Race 2025 en Class40 à bord de Faites un don sur SNSM.org, au terme de 700 milles de régate particulièrement disputée. À l’arrivée à Cherbourg-en-Cotentin, moins de deux minutes les séparaient du deuxième, illustrant une nouvelle fois l’extrême compétitivité de cette classe.
Le Néo Zélandais, vainqueur de la Whitbread, deuxième détenteur du trophée Jules Vernes et double vainqueur de la Coupe de l’America aurait été assassiné ce matin en Amazonie.
La maquette du nouveau monotype. Photos : Ch.Guigueno
Le nouveau Figaro Bénéteau serait-il déjà un succès ? La classe Figaro Bénéteau reconnaît comptabiliser entre 20 et 25 intentions d’achat. Le chantier Bénéteau qui a promis de construire 50 bateaux en un an remplit son carnet de commandes.
Après une saison record dont la principale épreuve était la Transat Jacques Vabre en double, Franck Cammas et Alain Gautier ont terminé au coude à coude. Chacun marque 78 points sur la saison mais c’est le skipper de Groupama qui s’impose grâce à sa victoire dans la transatlantique.
Onze skippers sont classés (Joyon, Duprey et Richards n’ont (…)
Le premier Open 570 exposé à la Porte de Versailles. Déjà dix commandes. Photo : Ch.Guigueno
Les chiffres sont inversés mais le concept reste le même. Une raison à cela, le papa des deux quillards moderne n’est autre que le Groupe Finot. “Finot a déposé la marque Open” précise, un brin énervé, Bruno Hervouet, le patron du chantier Phileas qui construit cette version assagie de la bête en série.
Laurent Brossat devant le Fun Power exposé au salon nautique de Paris. Photo : Ch.Guigueno
La carène possède un air d’Europe. Laurent Brossat, son architecte et constructeur, avoue justement être un ancien régatier de cette série. Il a aussi navigué en Laser et s’est inspiré des skiffs, les 18 pieds australiens, pour dessiner un dériveur en solitaire de la nouvelle génération.
L’Australienne Layne Beachley vient de remporter son quatrième titre mondial consécutif en se qualifiant pour les quarts de finale du Billabong Pro Maui. Sa compatriote Neridah Falconer s’adjuge de son côté l’épreuve en battant en finale Pauline Menczer.
Australian Layne Beachley today reached an ’Everest’ of a career goal by equaling the previous record set of four consecutive world titles by claiming her fourth at the Billabong Pro Maui, the final women’s World Championship Tour (WCT) of 2001. Neridah Falconer, meanwhile, achieved her own milestone this afternoon by defeating 1993 world (…)
illbruck arrive à Sydney à 2 heures GMT ce matin. Photo : Daniel Forster / illbruck
En franchissant en vainqueur, à 01h 22 (heure française – 11h 22 heure locale) la ligne d’arrivée de la seconde étape Cape Town – Sydney, illbruck signait une magnifique victoire, arrachée aux différentes fortunes de mer qui ont éprouvé l’équipage battant pavillon allemand depuis le début de cette manche de 6 550 milles. Les ennuis de illbruck (…)