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Le Défi Français

Le Défi joue la Elba Cup en Italie

lundi 6 mai 2002

Alors que FRA 69, le nouveau bateau de l’équipe française rejoint ce soir, la base de Lorient Lorient L’actualité du port de Lorient et de sa région. , où il va connaître ses dernières finitions, LE DEFI AREVA continue de sillonner les épreuves de match race à travers le monde. Demain, mardi 7 mai, un équipage français régate à l’île d’Elbe, en Italie, où se dispute l’Elba Cup.

Les Italiens organisent pour la première fois cette épreuve à Portoferaio, là-même où est installée la nouvelle base du syndicat Mascalzone Latino et sur son plan d’eau quotidien .

Huit membres du Défi sont aujourd’hui en Italie : Tanguy Cariou, Eric Carret, Sébastien Destremau, Olivier Douillard, Gilles Favennec, Paul McKenzie, Philippe Presti et Romain Troublé. La moitié de l’équipage a déjà une bonne expérience du match race ; pour les autres, les régates de l’île d’Elbe seront l’occasion de se mettre au parfum.

« Nous avons plutôt un objectif de travail que de performance, explique Philippe Presti, barreur et skipper. L’idée, c’est de se confronter sur des gros bateaux avec un équipage complet et de bien manœuvrer. »

Pour le Défi, l’important est de faire tourner un maximum de sportifs sur des épreuves de match race de très haut niveau.

« Il faut que chacun s’habitue au stress de la compétition en match race, commente Sébastien Destremau, qui est tacticien à bord. Il va falloir gérer les victoires et les défaites. Nous allons courir entre dix et vingt manches, donc il faut que l’on fasse le maximum pour progresser d’une manche à l’autre. »

Les régates se disputeront sur des IMX 40, avec un équipage de huit personnes. Une taille qui confère un intérêt supplémentaire à l’Elba Cup.

LE DÉFI AREVA se mesurera à Paolo Cian (Mascalzone Latino), Andy Beadsworth (GBR Challenge), Ed Baird et Chris Law.

L’Elba Cup n’est pas une épreuve de grade 1 (comme la Steinlager Line 7 Cup ou la Congressional Cup), mais de grade 2, le niveau inférieur. « Cela ne change rien, affirme Philippe Presti. Ce qui compte, c’est les adversaires et la taille des bateaux. Il y aura suffisamment d’adversité pour que la compétition soit intéressante. »

Information Le Défi



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