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Sébastien Picault repique en mini et Figaro avec Kickers

Transat AG2R avec Bourguès puis Les Sables – Les Açores en 2010

jeudi 4 mars 2010Information PIPOF.com

L’aventure continue en 2010 entre le navigateur Sébastien Picault et Kickers qui fête ses 40 ans cette année. Sous les couleurs de la première marque française de chaussure pour enfants, le skipper va s’engager sur la Transat AG2R La Mondiale en compagnie de Laurent Bourguès, puis sur Les Sables – Les Açores – Les Sables, en solitaire, à la barre de son fidèle mini rouge.


Jacques Royer, président fondateur du Groupe Royer et Jean François Bru, PDG de Kickers, veulent poursuivre leur histoire dans le monde de la voile. La célèbre marque de chaussures aux points rouge et vert s’engage avec le skipper Sébastien Picault pour une nouvelle saison d’aventures marines. Lors de cette année pendant laquelle Kickers va fêter ses 40 ans, la filiale du Groupe Royer et son marin vont voguer ensemble vers l’île de St Barthélemy aux Antilles et vers l’archipel des Açores à bord d’un Figaro-Bénéteau puis du fameux Mini 198 que Sébastien a mené lors de la dernière Transat 650.

« Avec Kickers, nous sommes fiers de continuer de faire naviguer un bateau de légende comme Karen Liquid » explique Sébastien Picault, 19e de la Transat 650 Charente-Maritime Bahia en 2009, 2e du Mini-Fastnet la même année - avec Laurent Bourguès - et 4e de la course en solitaire vers Les Açores en 2008. « En 2010, j’ai l’intention de profiter de l’expérience acquise sur le circuit mini 650 pour tenter de gagner une course du programme et j’espère faire le mieux possible sur la Transat AG2R - La Mondiale. Cette transat en double à laquelle je vais participer avec Laurent Bourguès va nous permettre de mettre le pied sur le circuit Figaro. Avec Kickers, on s’offre ainsi la possibilité de continuer d’apprendre sur le circuit professionnel des Figaro-Bénéteau tout en gardant pour objectif principal une participation à Les Sables – Les Açores – Les Sables cet été et tenter d’y réaliser deux belles étapes. »

« Notre engagement en mini date de deux ans, mais nous sommes très actifs auprès de Sébastien depuis l’année dernière » ajoute Jean-François Bru, le directeur général de Kickers. « Notre objectif est de poursuivre notre engagement de façon progressive. Notre marque est née dans les années 70 et fête ses 40 ans en 2010. Nos clients d’aujourd’hui ont le plaisir de porter des Kickers ou de les offrir à leurs enfants. Nos chaussures bénéficient d’un parti pris proche de la nature et en cela nous sommes proches de la culture véhiculée par la voile. L’approche de Sébastien et le sponsoring voile nous vont bien et nous restons fidèles à notre objectif d’y aller progressivement. En plus, il y a un côté affectif avec le voilier de Sébastien, l’ancien Karen Liquid (qui a gagné deux Mini-Transat en 1997 et 1999). C’est un plaisir de faire naviguer ce bateau qui a encore des tripes ! Et quand il est bien mené, il peut figurer en tête des courses. En 2010, Kickers, la première marque de chaussures pour enfants, va fêter ses 40 ans tout en ayant pour objectif de se développer à l’international. Nous avons donc décidé de renforcer notre budget pour soutenir Sébastien Picault. Nous maintenons notre programme en mini 650 et nous avons choisi ensemble de débuter sur le circuit Figaro-Bénéteau en participant, en avril, à la Transat AG2R – La Mondiale. »

 Info presse Pipof.com / www.kickers-voile.fr


Voir en ligne : Photo Thierry Martinez / www.thmartinez.com


Sébastien Picault se pique pour les beaux bateaux

Basé à Concarneau depuis 16 ans, Sébastien Picault est un marin passionné par les bateaux. Depuis deux ans, il chérit le mini 198, né « Karen Liquid » et double vainqueur de la Mini-Transat aux mains de son architecte, Sébastien Magnen.

« Pic » qui a succédé à la barre de ce voilier mythique au jeune Adrien Hardy, l’a mené lui aussi jusqu’au Brésil, c’était à l’automne dernier. Cette année, il retrouvera son bateau fétiche pour une nouvelle aventure vers les Açores. Mais avant cela, il va découvrir le monde des pros de la course au large en compagnie de son ami Laurent ‘Lolo’ Bourguès.

D’où te vient cet attachement aux bateaux de légende comme le mini n°198 ?
 S.P. : Si on part du principe que les bateaux ont une âme, c’est une bonne chose de faire perdurer des bateaux qui ont déjà une histoire. Et j’aime les bateaux qui ont une histoire. Alors que l’on parle beaucoup de développement durable, j’aime l’idée de récupérer ces bateaux et c’est passionnant de les faire encore évoluer. De plus, on apprend toujours beaucoup de choses auprès des personnes qui ont travaillé dessus auparavant. Avant de naviguer sur un bateau plus grand, je pense qu’il est important de bien connaître les tenants et aboutissants d’un petit bateau comme un mini 650. On apprend ainsi à maîtriser les coûts en sachant faire un maximum de choses à bord.

Que représente pour toi une participation à la Transat AG2R – La Mondiale ?
 S.P. : Nous participons à la Transat AG2R – La Mondiale pour découvrir le Figaro-Bénéteau. On va régater au contact de très bons marins. Cela ne peut donc que nous motiver à faire le mieux possible et à nous accrocher pour apprendre le plus possible. J’ai choisi la transat plutôt que la Solitaire parce que cela ressemble plus aux deux transatlantiques que j’ai déjà courues. Ce n’est pas basé principalement sur la connaissance du support. Ce sera aussi un bon entraînement en vue de la course en solitaire Les Sables – Les Açores – Les Sables en mini. Cette course avec le mini Kickers reste mon objectif principal de la saison. Enfin, je suis Concarnois, même si je suis originaire de la région de Fougères. Je vis à Concarneau depuis 16 ans et le départ est donné de Concarneau !

Pourquoi avoir choisi d’y participer avec Laurent Bourguès ?
 S.P. : Avec Laurent, nous avons déjà navigué ensemble. Nous nous sommes rencontrés sur le circuit Mini. Humainement, le contact est bien passé entre nous et cela, c’est important quand on sait que l’on va traverser l’Atlantique ensemble. On a aussi un niveau similaire et on est assez complémentaires. On peut progresser dans la prise de décision. Puis, nous avons envie de découvrir le circuit Figaro—Bénéteau. C’est un bon projet que de participer ensemble à la Transat AG2R – La Mondiale et j’espère que Prim’Soins me proposera un jour de naviguer avec ‘Lolo’ quand il fera des courses en double.

À propos de Sébastien Picault
 34 ans en 2010, né le 15 avril 1976 à Combourg (35)
 Site officiel : www.kickers-voile.fr
 Skipper du mini 650 n° 198 / Karen Liquid (plan Sébastien Magnen lancé en 1997)
 Deux participations à la Transat 650 (en 2007 et 2009)
 Deux participations à Les Sables – Les Açores – Les Sables
 Deuxième du Mini-Fastnet 2009 en double avec Laurent Bourguès

À propos de Kickers

Filiale du Groupe Royer, l’entreprise vendéenne Kickers est implantée à Montaigu. Elle est leader sur le marché français de la chaussure pour enfants (57% des ventes) tout en développant ses produits pour adultes. Elle réalise avec sa marque Kickers, née en 1970, 23% de son chiffre d’affaires à l’export et possède plus de 5000 clients dans le monde.
 Sites : www.kickers.com & www.grouperoyer.com

Le programme 2010 de Sébastien Picault & Kickers

Circuit Figaro-Bénéteau (monotype de 10,10 mètres de long)
 18 avril : Transat AG2R La Mondiale en double avec Laurent Bourguès
 http://transat.ag2rlamondiale.fr

Circuit Mini 650 (prototype de 6,50 mètres de long)
 3 juin : Trophée MAP en solitaire
 13 juin : Mini-Fastnet en double
 1er août : Les Sables – Les Açores – Les Sables en solitaire (www.lessables-lesacores.com)

Laurent Bourguès, un Marseillais sur l’AG2R

L’équipier de Sébastien Picault sur la Transat AG2R – La Mondiale est le Méditerranéen Laurent Bourguès, skipper du mini 650 Prim’Soins en 2009.

Ancien régatier de haut niveau en Laser au Pôle France de Marseille, Laurent a travaillé pendant 3 ans dans le Gitana Team et c’est ainsi qu’il a pris goût pour la course au large. En 2006, il démarre son projet mini qui se concrétise, tout comme pour Sébastien, par deux participations à la Transat 650 avec une belle 8e place en 2009. Cette année, il va participer à la transat en double avec le skipper Kickers avant d’integrer l’équipage de Gitana 13 pour une campagne de navigation en Mediterannée.

Qu’attends-tu d’une première participation à une course du circuit Figaro ?
 L.B. : J’ai fait quelques convoyages en Figaro mais jamais en course. Commencer par la transat, alors qu’il y a un paquet de ministes au départ, c’est parfait. Même si j’ai fait du haut niveau, il y a longtemps, c’est un parcours avec plus de large que la Solitaire du Figaro et donc nous avons plus à jouer sur une première Transat AG2R- La Mondiale que sur une première Solitaire. Même si participer à la Solitaire est un de mes objectifs, débuter par la transat est l’occasion de découvrir le support. On a plus une carte à jouer en double et, sur un tel parcours, on sera plus à l’aise que sur une solitaire qui demande une énorme expérience. Cela permet aussi de rentrer dans un univers professionnel. La mini est une superbe aventure, mais là, on court avec des très grands et on a beaucoup de chose à apprendre avec eux.

Comment vous y préparez-vous avec Sébastien ?
 L.B. : On a le mois de mars pour se préparer, cela nous laisse un mois et demi. De mon côté, je me suis remis faire du sport. Avec Seb, on s’est défini des taches précises pour être plus efficaces. L’avantage d’être deux c’est que l’on se fait confiance pour gérer nos différents postes. Moi, je m’occuperai de la partie voile avec le réglage des voiles, du mât, etc.. Sébastien va plus s’occuper de partie navigation à bord (moteur, safran, coque, électronique).

L’expérience de votre Mini-Fastnet vous servira-t-elle ?
 L.B. : Sur le Mini-Fastnet, on a vu qu’il y a des choses qui marchent bien entre nous. On a chacun trouvé notre rôle à bord. Lui, avec son côté marin, et moi, plus avec le côté régate pour les phases de contact et la stratégie avec les concurrents. Cela s’est fait naturellement et on va essayer de le refaire puisque cela marchait bien. Ce qui n’a pas marché et que l’on doit faire progresser tient dans la partie anticipation. Sur la transat, on va retrouver des outils que l’on n’a pas le droit d’utiliser en mini comme les aides à la navigation. On va travailler chacun de notre côté pour confronter prochainement nos expériences et en faire une synthèse. Pour ce projet-là, on est bien entouré et on est à l‘écoute de tout ce que l’on peut nous apporter comme conseils pour apprendre le plus possible. Pour les entraînements, on va essayer d’en faire à Port-La-Forêt et peut être à Lorient. Dès qu’il y aura des conditions météo favorables, on va naviguer afin de mettre chaque séance à profit pour progresser en vue de la course.

À propos de Laurent Bourguès
 29 en 2009, né le 31 décembre 1980 à Marseille (13)
 Site officiel : www.laurentbourgues.com
 Licencié au CN La Pelle Marseille
 Deux participations à la Transat 650 (en 2007 et 2009)
 Deuxième du Mini-Fastnet 2009 en double avec Sébastien Picault

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