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La septième journée de cette 36e édition de la Coupe de l’America a sacré Emirates Team New Zealand. L’équipe détentrice du plus vieux trophée sportif du monde a conservé son bien face aux Italiens de Luna Rossa Prada Pirelli. La Cup reste en Nouvelle Zélande.
J5 : NZL 5 : 3 ITA : le vent offre deux victoires aux Kiwis
Le vent sur la baie d’Hauraki a distribué les cartes aujourd’hui. En soufflant à plus de 11 noeuds d’abord pour favoriser le monofoiler néo-zélandais. Puis en imposant un plus long arrêt aux Italiens qu’aux Kiwis laissant le Defender revenir en premier sur ses foils et remporter le premier doublé quotidien de cette Coupe. Et le premier break.
Tout avait bien commencé pour l’équipe de Peter Burling avec, enfin, du vent soufflant à plus de 11 noeuds. Dans ces conditions Emirates Team New Zealand est impressionnant. Avec ses petits foils et sa plus petite voile d’avant que le Challenger italien, le Defender a montré une vitesse impressionnante, tant au près qu’au portant. En plus, les Italiens qui ont pris l’avantage au départ ont laissé le bateau kiwi s’échapper sur la droite du plan d’eau. En changeant leur tactique gagnante sur leurs précédentes victoires de contrôler l’adversaire en le plaçant dans le dévent de leurs voiles, ils ont ouvert une porte. Les Kiwis volants ne se sont pas laisser compter et fait filer la machine à foils à pleine vitesse vers la victoire.
Tout devait changer sur la deuxième manche du jour. Le vent est redescendu sous les 10 noeuds. L’avantage est alors du coté italien. Luna Rossa est plus à l’aise dans le petit temps. Le début de course le confirme une fois encore jusqu’à ce que les Kiwis manquent un empannage alors qu’ils sont encore à proximité du bateau italien. Et c’est le drame : Emirates Team New Zealand reste collé au plan d’eau. Le vent est de plus en plus faible. Les Italiens s’échappent vers une victoire facile. A la bouée suivante, les Kiwis ont 4 minutes de retard. Mission impossible ? Sauf si le vent de la baie d’Hauraki décide de bloquer le bateau Italien à son tour. Bruni et Spithill vont rester coincés près de neuf minutes à la bouée au vent. Largement le temps pour les Kiwis de remonter sur leurs foils et passer devant pour l’emporter de 4 minutes.
Pour la première fois depuis le début de cette 36e Coupe de l’America, une équipe remporte les deux matchs du jour. Voilà le Defender leader de deux points et, comme ils disent sur France 2 lors des matchs de tennis, "à deux points du Match" ! Et sur le vent a décider d’être de la partie pour soutenir son équipe locale en soufflant à plus de 11 noeuds sur le plan d’eau, la partie sera jouée d’avance. Mais tout change vite à bord d’un voilier. Les Kiwis ont réussi le break. Vont-ils garder l’avantage jusqu’au bout de ce match en 7 victoires ?
Le Protocol prévisionnel publié par le Defender Emirates Team New Zealand le 23 mai dernier, fruit de discussions impliquant toutes les équipes, marque différentes avancées que nous soutenons.
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Results from ongoing and extensive media research in specific territories, confirm that the Volvo Ocean Race is reaching a wider audience than ever before.
Aidé par toute son équipe, Ronan a terminé l’assemblage des bordés et s’attaque à la stratification générale de la coque à bouchains. Le propriétaire du Banjo présente cette nouvelle phase de la construction du voilier.
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Il était 11h30 ce matin lorsqu’une partie de l’équipe de France de rugby entraînée par Fabien Pelous, est montée à bord du maxi-catamaran Orange pour rejoindre le skipper Bruno Peyron et son équipage, réunis au complet autour du Maire de Marseille, M.Jean-Claude Gaudin et de M.Guy Lafarge, Directeur du Marketing d’Orange France, pour le baptême (…)
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